C’est en 1979 que Maoro (Frascotti Mauro) obtient son diplôme de graveur sur acier à l’école des Art Appliqués de La Chaux-de-fonds.
Délaissant ce premier métier, il se tourne rapidement vers d’autres moyens d’expressions, tous liés aux arts graphiques. Durant une décennie, il fait l’apprentissage de la bande dessinée avec quelques albums à la clé.
Quelques voyages notamment en Afrique lui permettent également d’expérimenter un style plus pictural. C’est en Egypte à Louxor et au Caire qu’il expose ses premiers tableaux.
Raoul Cop (scénariste) a été enseignant et historien, il a publié plusieurs livres historiques concernant l'Arc jurassien. Arrivé à la retraite, il a voulu raconter le passé et le présent de sa région dans une bande dessinée dont il a imaginé le scénario.
"Lorsqu'on a grandi dans le plat pays, comment ne pas être impressionné par le Haut-Jura ! Dans mon cas je parlerais même de coup de foudre. Je ne pouvais manquer d'être interpellé par les particularités naturelles du lieu et les multiples empreintes du passé. Étant originaire du pays de Tintin et de Blake et Mortimer, j'ai grandi avec la bande dessinée et je n'ai pas cessé d'en dévorer. J'apprécie surtout l'apport du dessinateur, qui, à l'instar du cinéaste, crée un écrin souvent plus riche que le récit lui-même."
Délaissant ce premier métier, il se tourne rapidement vers d’autres moyens d’expressions, tous liés aux arts graphiques. Durant une décennie, il fait l’apprentissage de la bande dessinée avec quelques albums à la clé.
Quelques voyages notamment en Afrique lui permettent également d’expérimenter un style plus pictural. C’est en Egypte à Louxor et au Caire qu’il expose ses premiers tableaux.
Raoul Cop (scénariste) a été enseignant et historien, il a publié plusieurs livres historiques concernant l'Arc jurassien. Arrivé à la retraite, il a voulu raconter le passé et le présent de sa région dans une bande dessinée dont il a imaginé le scénario.
"Lorsqu'on a grandi dans le plat pays, comment ne pas être impressionné par le Haut-Jura ! Dans mon cas je parlerais même de coup de foudre. Je ne pouvais manquer d'être interpellé par les particularités naturelles du lieu et les multiples empreintes du passé. Étant originaire du pays de Tintin et de Blake et Mortimer, j'ai grandi avec la bande dessinée et je n'ai pas cessé d'en dévorer. J'apprécie surtout l'apport du dessinateur, qui, à l'instar du cinéaste, crée un écrin souvent plus riche que le récit lui-même."